Rituels et cérémonies réalisés avec l'aide de sorciers et de veduns.

En Russie, il y a toujours eu, il y a et il y aura des sorciers qui, malgré tous les cataclysmes, gardent la sagesse séculaire des ancêtres, comme nous l'avons déjà dit plus haut. Il s'agit des sorciers, des charlatans, des zelejschitsa (traités aux herbes), des rêveurs, des charmeurs, des magiciens, des devins, des druides, des trichs, etc. Ils sont les médiateurs entre le peuple et leurs dieux ancestraux.

À une époque, afin d'arracher les Slaves à leurs racines, des efforts colossaux ont été déployés pour diffamer ce peuple. Le sorcier Rossignol, qui à l'aide de sons contrôlait les éléments de la nature, était transformé en un horrible voleur. Une mère sorcière, surnommée simplement Witch (Witch - sorcière, Ma - mère)*, a été transformée en une méchante sorcière. La grand-mère - guérisseuse, qui soignait les enfants, s'est transformée en l'horrible Baba Yaga, qui mange les petits enfants et les fait rôtir dans le four.

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• De même, on a déchiffré "sorcier", "ours", c'est-à-dire celui qui connaît le miel.

Mais ils étaient les meilleurs représentants du peuple slave, qui ne volaient pas les gens ordinaires (comme les médecins et les médiums modernes) jusqu'au dernier centime pour leur aide, parce qu'ils...

ils ont adhéré à la règle de base :

"En Russie, on ne prend pas beaucoup pour se soigner, mais autant qu'on donne". Examinons maintenant de plus près leur héritage :

"L'élément le plus fréquent et le plus nécessaire dans toutes les conspirations et les manipulations de znakhar est l'eau. Lorsqu'il est invoqué, il reçoit un pouvoir miraculeux et est capable de supprimer toute maladie. Il est nécessaire de le donner à l'intérieur et de l'éclabousser à l'extérieur, pour "laver" le patient. La valeur thérapeutique de cette eau est encore renforcée si on la fait "couler" d'une pierre sacrée, c'est-à-dire si on la verse avec de l'eau et qu'on la recueille ensuite dans un bol approprié. Il est également possible de laisser l'eau couler à travers le support de la porte, et de laver le malade sur le pas de la porte. Il est également possible de donner des qualités inhabituelles à l'eau en y plongeant un morceau d'argile ou un galet. Mais le meilleur de tous, l'eau incantatoire, qui a été trempée dans la flèche de tonnerre du Dieu Perun. Mais vu la rareté de trouver de tels articles, on les remplace le plus souvent par un simple charbon de bois de la cuisinière. Il suffit de mettre un charbon avec une incantation dans un verre avec de l'eau - ce sera de l'eau avec des propriétés complètement différentes. Parfois, pour augmenter la puissance de l'action, on ajoute du pain, du sel et d'autres objets aux braises".

Exemple : Un vieux guérisseur prend une petite tasse d'eau et y saupoudre du sel. Puis elle se bénit avec une perunica (croix chrétienne) et s'approche du poêle, prend un charbon chaud dans l'ail et le plonge dans l'eau et commence à lire l'incantation au-dessus de l'eau, en se balançant fortement, en baillant souvent et en crachant dans les directions. Puis, après avoir donné trois gorgées d'eau au malade, il asperge sa tête avec le visage et le cou, les bras et les jambes, le dos et la poitrine. Puis il dit : "Maintenant, va dormir, petite colombe" (après le traitement, le sommeil est obligatoire).

Une autre technique courante de la thérapie de guérison consiste à "épingler le patient "**. Il est moins souvent utilisé que le lavage et l'application d'objets pointus tels que les aiguilles, les clous, les échardes tranchantes et les couteaux. Au début, la maladie est également lavée et ensuite elle est expulsée en la piquant à certains endroits. "Poignarder le crapaud". La thérapie "crapaud" façon épingler la thérapie moderne par aiguilles en quelque sorte, n'est pas considérée comme notre invention, parce que même Vanga a souligné que les anciens ancêtres des Slaves - les Thraces ont utilisé des aiguilles en céramique, et ils sont considérés par elle comme les plus appropriés pour un tel traitement. Les douleurs dans la poitrine et le dos sont piquées avec des objets pointus et l'acupuncture est traversée au fur et à mesure que l'énergie se déplace en nous. *

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*La flèche du tonnerre du dieu Perun est du sable fondu par un éclair.

**Le texte ci-dessous montre que les Slaves ont maîtrisé cette technique il y a longtemps, et qu'elle se fait avec une brindille à deux extrémités pointues, comme une fourchette.

En cas de douleur au côté, ils piquent le côté avec une écharde ou un éclat d'un support avec lequel un mur est étayé.

Pour le diabète - le matin, ils piquent les points autour du nombril du patient.

Pour les maux de tête, une épingle était placée sur les gros orteils ou les mains.

La peur qui perce. Une cale en bois est prise. Il est utilisé pour faire un cercle autour du patient et enfoncer le coin dans le sol devant ses pieds. Ensuite, sur la tête d'un malade, mettez un bol avec de l'eau non potable et versez-y de la cire fondue (ou de la graisse) avec une incantation :

" S'il vous plaît, Mère Makosh, la Sainte Vierge, vous et tous les gardiens de l'ange (ange est un mot grec, mais les Slaves appelaient ces créatures comme les poumons de l'air) et nos sages ancêtres aident et aident l'enfant de Dieu (nom de l'enfant).

Cette opération est répétée un certain nombre de fois. Les figures de cire obtenues à partir de ces actions sont brûlées dans un four et l'eau est versée. La personne malade est ensuite mise au lit pour un certain temps. Parfois, dans ce rituel, le cercle n'est pas délimité, mais le patient est simplement déposé sur le seuil de la porte et y est traité.

Pendant le traitement des "dents" (lorsque l'enfant fait ses dents), ils prennent l'enfant dans les mains et trouvent une branche dans le mur, commencent à l'entourer avec leurs doigts et invoquent :

Lorsqu'un enfant a perdu ses dents, prenez le rameau et répétez la procédure : "Rameau, prends tes dents, du bébé (nom de la parole) atteint de douleurs dentaires".

Après avoir effectué cette manipulation trois fois, le guérisseur appuie à chaque fois sur les dents en éruption.

Pour déterminer la nature de la maladie, le guérisseur pratique souvent la divination en regardant dans l'eau ou dans un miroir, en noyant de la cire ou en jetant des cendres dans l'eau. Si, en prononçant l'incantation, le praticien bâille fortement, cela signifie que la maladie du patient est grave et négligée.

Exemple. Un guérisseur prend une louche d'eau froide, y met du sel, remue avec un couteau et y trempe à son tour des charbons chauds, tout en marmonnant en posant le premier charbon : "du mauvais œil de l'homme" et le second "du mauvais œil de la femme".

Quel charbon descend, c'est la poisse. Si les deux flottent, il n'y a pas de mauvais œil.

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• par une croix car l'énergie se déplace en nous - nos ancêtres savaient que chaque personne porte en elle une croix énergétique - voir ci-dessus.

Lorsqu'une guérisseuse se rend chez le patient, elle exige trois cruches d'eau, fait sortir tout le monde de la maison, pose les cruches sur l'autel de la maison et commence à y invoquer de l'eau. Après avoir lu les mots, il souffle sur la première cruche et répète ensuite avec les autres. Puis elle s'asperge la tête avec la première cruche, la poitrine et les mains avec la deuxième cruche, le ventre et les jambes avec la troisième cruche. Puis il appela les gouvernantes et leur dit d'asperger le malade trois fois par jour et de lui donner à boire le même nombre de fois. Du premier le matin, du second à l'heure du déjeuner et du troisième le soir. Le guérisseur va voir le patient neuf fois.

Traitement de "toadstool". Lorsque le patient arrive, on lui met le dos contre un mur de rondins sans aucun plâtre, de sorte que l'un des nœuds se trouve au-dessus de sa tête. Le patient est serré contre le mur et trois éclats de lumière sont placés dans des fissures du mur autour de lui. Puis, par trois fois, ils consacrent le noeud avec une perunion, en disant à mi-voix : "A la gloire des dieux lumineux et de nos sages ancêtres. Ensuite, ils ont fait un nœud avec l'extrémité épaisse d'un fuseau en disant : "Comme ce nœud s'est flétri, ce crapaud se flétrira aussi". Ensuite, le guérisseur pose sur le point douloureux une tige de fer allumée, chauffée sur des échardes enflammées, puis il touche une double branche de balai chauffée sur les mêmes échardes et faite à la manière d'une fourche. Enfin, le patient reçoit du thé infusé sur des feuilles sèches de genêt à bouleau.

Si vous avez mal aux dents, vous devez prendre une pincée de sel ou de cire ou un morceau de pain, mais il est préférable de prendre du sel. Enveloppez-le dans un chiffon propre et enroulez-le trois fois avec un fil et faites trois nœuds. Ensuite, mieux vaut, tôt le matin, à jeun, mettre le tissu dans la bouche, sur les dents et neuf fois sans manquer un seul mot à prononcer :

" Le premier roi est le mois endormi, le deuxième roi est la pierre du garçon, le troisième roi est le chêne vert sur la mer bleue. Afin que ces trois rois ne convergent pas, ainsi l'enfant de Dieu (nom du discours) n'aura pas mal aux dents. Sur ces trois montagnes, sur ces trois acarents, se dressent les trois acarents. Sur ces trois trônes se dressent trois trônes, sur ces trois trônes est assise la Mère pure, et avec elle la Mère sans saint. Et c'est ainsi que l'enfant de Dieu (nom de l'enfant) verra ses dents guéries, et son ver mortifié.

Les dents seront guéries par tous les moyens, mais avant cela, la personne ne doit pas avoir de relations sexuelles avec la femme et doit être propre et porter des sous-vêtements frais.

En cas de frissons et de sensation de froid, les guérisseurs utilisent l'incantation suivante :

Si vous êtes enrhumé, vous pouvez utiliser les mots suivants : "Givre, givre, ne reste pas derrière ton dos, marche dans les prés et les vallons, dans les forêts et les bosquets, saupoudre le givre sur les arbres, mais pas sur les gens. Viens dans le champ ouvert."

Pour les douleurs lombaires :

"Douleur, sors, dans les sabots du cheval, dans les cornes du bélier, tu ne peux pas rester ici, tu ne peux pas vivre ici."

Une douleur dans le bas du dos peut également être traitée de la manière suivante : si le patient s'allonge, les reins nus, à la porte de la maison et que le guérisseur utilise une petite hache ou un couteau pour commencer à toucher le bas du dos du patient, en faisant de petits mouvements de coupe pas très forts (il ne fait que masser le corps avec le tranchant du couteau). Cela se fait généralement sur trois seuils. On pense également que cette opération peut être pratiquée par les employés de maison, mais uniquement sur les premiers-nés et les descendants de la famille.

Traitement du "hideypun" dans les mains. Pour ce faire, pincez la main douloureuse dans l'embrasure de la porte ou du portail et dites trois fois :

"Gardien de la porte, prenez vos cachettes.

En même temps, ils se lavent les mains avec du savon et disent :

"Comme à un mort rien ne fait mal, ne pince pas, n'entend aucune mélancolie ou maladie, ainsi à l'enfant de Dieu (nom du discours.) rien ne ferait mal, ne pincerait pas, et il n'entendrait aucune mélancolie ou maladie".

Préparez dans un bac un type spécial de liqueur, mettez-y 12 pierres chauffées prises dans 12 champs différents. Lorsque la liqueur a refroidi, on y plonge une partie malade du corps en observant un strict silence dans la maison, car le poilu a peur du bruit et ne veut pas sortir du corps dans la liqueur.

Pour éliminer les "kilas", le guérisseur met de la levure* dans un petit récipient et, en faisant pencher le patient au-dessus du poteau du four, lui ordonne de dire trois fois : "Des kilas de pierre, de fonte, de fer, de verre, de bois, des morts, des dormeurs et des vivants" et chaque fois de cracher dans le récipient. Ensuite, l'homme médecine enduit cette levure sur la "quille" et la quille sèche.

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*...le sorcier met de la levure - il ne s'agit pas ici de la levure artificielle, qui est produite de nos jours, mais de la levure naturelle qui était fabriquée autrefois à partir de son et de houblon.

Le "kyl" est également guéri en prenant un morceau d'argile dans la bouche d'un four orienté vers l'est, en le trempant dans de l'huile ou de la vodka et en disant :

"Au nom de nos dieux lumineux et de nos nombreux ancêtres sages, pas du cerveau de kila, pas du noyau de fruit, pas de l'oeuf de coq et maintenant et toujours."

Ensuite, une prière à Dieu Rod est récitée et tout cela est fait trois fois. Ensuite, de l'huile ou de la vodka est étalée sur le "furoncle" qui se brise et disparaît.

Lorsqu'un homme adulte ou un enfant est sec, elle le place contre le mur qui n'a pas de fenêtres, mesure sa taille avec un fil et fait un nœud, mesure les articulations de ses mains et de ses pieds et fait à nouveau des nœuds sur le fil. Ayant fait ces mesures, il mit un banc au milieu de la hutte avec un trou au milieu, mit une tige avec des braises ardentes dessous et mit le malade sur le banc. Ensuite, à chaque coin de la maison, il prend une pincée de mousse*, balaie le sol contre la natte et met les déchets collectés avec la mousse et le fil retirés dans une jarre et les brûle. Si le malade tousse à ce moment-là, il sera en bonne santé, sinon, il restera malade.

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*Auparavant, les cabanes en bois étaient construites avec des couronnes de bois, et les fissures étaient remplies de mousse.

La prise de sang à des fins de guérison se fait à l'aide de ce que l'on appelle les rudomites : le guérisseur pratique une entaille longitudinale à l'aide d'un canif sur le dos, près de l'omoplate, suffisamment profonde pour que le sang s'écoule, puis le libère en un jet de la taille d'une tasse à thé. Puis il met un tissu propre imbibé d'eau froide sur la plaie. Dans certains endroits, ils saignent d'un "faucon" (la veine à l'arrière du pouce).

Traitement des "maladies du nombril". Il existe des guérisseurs "redresseurs" : ils guident le nombril, qui a été arraché à la suite d'un travail difficile, ou d'une personne ayant trébuché ou fait un mouvement brusque. Pour ce faire, il suffit de mettre un pot dessus. Le guérisseur met le malade, s'enduit le ventre avec du savon ou de la gomme, prend un pot, allume du linge, le jette dans le pot et le renverse sur le ventre du malade (c'est-à-dire que le pot est une grande jarre sèche). Le guérisseur fait cela deux ou trois fois à jeun, et à la fin, il donne au patient un verre de vin avec du sel et de la suie. Le versement du pot est également entrepris pour disperser le mauvais sang.

Il existe d'autres moyens de traiter les maladies du nombril. Par exemple, "déchirer le nombril avec les doigts", c'est-à-dire que le pouce et la partie médiane de l'index plié saisissent le pli de peau et le soulèvent, en essayant de tordre le pli. Parfois, on pince la peau avec les doigts sur tout l'abdomen, ce qui constitue un type de massage.

L'enveloppement du nombril avec un bâton est également utilisé. Ils prennent un petit bâton au milieu et le posent sur le nombril et commencent à faire des mouvements circulaires du bâton sur l'abdomen pour fixer le nombril déchiré. En cas de douleur intense au niveau du nombril, l'opération de déchirure du nombril est pratiquée. Le patient, le dos nu, est allongé sur le banc, le ventre vers le bas, et le guérisseur invité, avec trois doigts pliés et laissant les deux autres doigts libres, place l'index en travers du dos du patient et le pouce saisit la peau du dos contre le nombril et tire fortement jusqu'à ce que le dos se raidisse. Pour ce faire, le patient doit s'allonger sur un objet et, avec l'aide du guérisseur, redresser son ventre ou courber son dos autant que possible.

Pour soigner un ventre déchiré, le patient est allongé sur le dos, jambes pliées, et les deux mains commencent à caresser le ventre de bas en haut en récitant :

"Au nom des dieux lumineux et de nos nombreux et sages ancêtres".

Puis ils prennent un malade par les jambes, le secouent trois fois et lui disent de s'allonger un moment.

Lorsque le cou est douloureux et qu'il est impossible de tourner la tête, les guérisseurs disent que le cou a "évolué". Pour remédier à ce problème, ils prennent la tête du malade à deux mains et la tournent d'un côté puis de l'autre en ordonnant qu'elle soit tournée sans délai. Lorsque les patients disent que leur cou "craque", ils sont tournés à tel point que le cou commence à faire mal.

Lorsque le dos du patient devient douloureux à cause du travail de la grand-mère, on dit aussi qu'il "s'est développé", on dit au patient de mettre ses mains à plat, de s'allonger le dos tourné vers le haut et d'appuyer dessus avec ses pieds nus, en le piétinant.

Le traitement de la surdité et l'élimination du cérumen est le suivant : rincer les oreilles avec de l'eau, mettre de petits morceaux de camphre enveloppés dans de l'ouate ou un tissu fin avec des feuilles de géranium odorantes, puis plier un chiffon de papier imbibé de cérumen en tube insérer une extrémité dans l'oreille et allumer l'autre. Cette opération est considérée comme la plus efficace contre la surdité : tout le soufre qui bouche les oreilles se consume ou est dessiné sur le papier.

En cas de maladies des yeux (ulcères de la cornée, etc.), les herboristes cassent l'œil, c'est-à-dire qu'ils frottent le globe oculaire à travers les paupières fermées. Le type particulier de craquement qui est entendu pendant cette manipulation dans l'œil par les patients, apparemment, et a donné la raison d'appeler cette application de massage des yeux "casser l'œil". Lorsque des corps étrangers pénètrent dans l'œil, ce qui arrive souvent lors du battage et du détachement du pain, ils transforment l'œil en anneau et retirent les débris avec leurs mains ou les lèchent avec leur langue. Le léchage avec la langue est également utilisé pour d'autres maladies oculaires.

Pour traiter l'épilepsie, pendant la crise, ils coupent un morceau de la chemise du patient et le mettent dans son cercueil dès que l'homme meurt. Ils le font 12 fois et la maladie disparaît.

Lorsque le patient est paralysé pendant l'attaque, ils font un cercle autour de lui et le fouettent impitoyablement avec des chardons.

Un garçon ou une fille, un enfant de la famille, est amené au malade avec un "pied de biche" dans les bras ou les jambes et on lui permet de mordre légèrement la jambe ou le bras malade au niveau du genou ou du coude. Après chaque bouchée, l'enfant doit cracher.

Un patient souffrant d'incontinence urinaire est entouré de cette corde qui entoure et maintient un tuyau de poêle sur un bâton.

On fait boire à un patient fiévreux de l'eau infusée sur des charbons, du sel et de l'argile, 1 cuillère le premier jour du traitement, 2 cuillères le deuxième et ainsi de suite pendant 12 jours. Ce faisant, le malade écrit chaque jour les mots suivants sur un bâton de bois

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Traduction du Russe Richard Raw “Simeria”